La collaboration est essentielle pour répondre aux attentes des consommateurs en matière d'amélioration du bien-être des animaux

Ingelheim, Allemagne,
  • Le 12e Forum expert sur le bien-être des animaux d'élevage regroupait plus de 100 experts de l'industrie qui se sont penché sur les récentes tendances, les défis à relever et les occasions à saisir dans ce domaine.
  • Organisé par Boehringer Ingelheim, ce forum démontre à quel point la compagnie s'investit et assume un rôle de chef de file dans l'amélioration du bien-être des animaux.

Ingelheim, Allemagne, 20 juin 2019 – La collaboration entre les médecins vétérinaires et les éleveurs est essentielle pour répondre aux attentes des consommateurs qui exigent une amélioration du bien-être des animaux; c'est ce qu'ont conclu des experts internationaux durant le Forum expert sur le bien-être des animaux de la ferme récemment organisé par Boehringer Ingelheim.

Plus de 100 délégués de 17 pays se sont réunis dans la ville historique de Prague du 6 au 8 juin pour la 12e édition de cette conférence organisée par Boehringer Ingelheim, un chef de file dans le domaine de la santé animale.

Depuis 2008, le Forum a réuni des scientifiques du domaine vétérinaire, des détaillants, des médecins vétérinaires, des éleveurs et des défenseurs de l'industrie pour discuter des dernières recherches, données, visions et récents défis sur l'amélioration du bien-être des animaux qui fournissent les chaînes alimentaires mondiales essentielles.

Cette année, la question suivante a été posée aux délégués, pour leur donner matière à réflexion : Est-ce que les consommateurs et les citoyens souhaitent la même chose? La différence entre les deux a été soulignée par Laura Higham de FAI Farms, qui a fait mention du concept de « virage citoyen », c'est-à-dire que les citoyens qui souhaitent avoir une plus grande influence sur la société - y compris la santé et le bien-être des animaux - utilisent leur pouvoir d'achat pour favoriser des chaînes d'approvisionnement alimentaire éthiques. Mme Higham a également évoqué les différences entre les systèmes d'assurance agricole et la question de savoir si les systèmes actuels répondent ou non aux attentes des consommateurs en matière d'amélioration du bien-être animal. 

Malgré ce « virage citoyen » avéré, la volonté de payer pour améliorer le bien-être des animaux reste un problème majeur auquel l'industrie est confrontée, comme l'a souligné Lynn Frewer, de l'Université de Newcastle. « Les préoccupations liées au bien-être et à la production des animaux d'élevage peuvent ne pas correspondre aux pratiques d'achat et de consommation, les ventes de produits favorables au bien-être étant beaucoup plus faibles que les niveaux de préoccupation signalés. Cela semble indiquer un décalage entre le rôle d'une personne en tant que citoyen et en tant que consommateur, de sorte que les citoyens et les consommateurs ont des préoccupations différentes dans des contextes différents. »

Des chaînes d'approvisionnement durables étaient à l'ordre du jour des conférenciers invités Robert Erhard, Nestlé, et Dr Jeff Brose, Cargill Animal Nutrition, É.U. Les délégués ont également entendu une présentation du Dr Rory Sullivan, Chronos Sustainability, qui traitait de l'importance des programmes mondiaux de benchmarking sur le bien-être des animaux d'élevage pour les entreprises alimentaires mondiales.

Pour ce qui est de la définition précise du bien-être animal, plusieurs conférenciers ont mentionné que ce n'était pas seulement une question de santé physique. « Il ne faut surtout pas oublier que les animaux qui n'éprouvent pas de douleur ne sont pas nécessairement en bonne santé », a expliqué Charlotte Winder, de l'Université de Guelph, au Canada, dans son discours sur la façon dont les médecins vétérinaires peuvent évaluer la douleur des animaux d'élevage.

Les discussions ont également porté sur la production de viande bovine éthique, discussion alimentée par la présentation de Rob Drysdale de StraightLine Beef, Royaume-Uni, et par le professeur Xavier Manteca, Université autonome de Barcelone, Espagne, qui a présenté un lien fascinant entre résistance aux antimicrobiens et bien-être animal.  

Marianne Villettaz Robichaud, Université de Montréal, Canada, a communiqué les dernières données probantes sur le temps de repos et le confort des vaches, tandis que Leopoldo Stuardo Escobar de l'Organisation mondiale de la santé animale (OIE), France, a donné un aperçu de la Stratégie mondiale pour le bien-être animal.

Malgré les dernières recherches et technologies, l'un des principaux obstacles empêchant d'améliorer le bien-être animal est le comportement et les attitudes, comme l'ont souligné la DreAnna Wilson et Katie Morton d'Innovia, Royaume-Uni. Dans leur allocution aux délégués et dans le cadre d'un atelier interactif, elles ont offert des conseils pratiques sur la façon de modifier le comportement des professionnels et des éleveurs afin de concrétiser davantage le but ultime d'un meilleur bien-être animal.

Puisque les consommateurs et les intervenants de l'industrie alimentaire s'intéressent de plus en plus aux systèmes de production des produits alimentaires, l'un des principaux résultats de la conférence a été la nécessité d'une plus grande collaboration entre médecins vétérinaires et éleveurs pour faire en sorte que les chaînes d'approvisionnement soient à la fois durables et optimisent le bien-être des animaux d'élevage.

« Nous sommes déterminés à trouver des moyens d'améliorer la production des exploitations agricoles en favorisant le bien-être des animaux d'élevage », a déclaré le Dr Laurent Goby, directeur principal du marketing mondial chez Boehringer Ingelheim. « De tels congrès sont essentiels pour réunir la crème de l'industrie afin d'amener tous les intervenants à explorer et à aborder la façon dont nous pouvons mieux collaborer pour atteindre cet objectif à la fois pour les professionnels de l'industrie, les éleveurs et, surtout, les consommateurs. »

Boehringer Ingelheim offre également un site Web consacré au bien-être des animaux d'élevage (www.farmanimalwellbeing.com) qui contient toutes l'information à ce sujet, y compris les articles présentés à Prague et les détails des réunions précédentes

Si vous avez des questions ou souhaitez obtenir des photographies du Forum expert de Boehringer Ingelheim, prière de communiquer avec Laurent Goby à laurent.goby@boehringer-ingelheim.com.

Unité fonctionnelle Boehringer Ingelheim Santé Animale
Boehringer Ingelheim est la deuxième compagnie de santé animale en importance au monde, avec des ventes nettes se chiffrant à près de 4 milliards d'euros en 2018 et une présence dans plus de 150 marchés.

À l'échelle mondiale, nos 10 000 employés forgent chaque jour l'avenir du bien-être des animaux. Nous sommes convaincus que la prévention est plus importante que le traitement et, par conséquent, nous nous concentrons sur la création de solutions novatrices dans le domaine des vaccins, des antiparasitaires et des produits thérapeutiques. Grâce à une gamme abondante de nouveaux outils, services et produits de soins de santé axés sur la prévention, nous aidons nos clients à assurer la santé de leurs animaux.

Pour de plus amples renseignements, consultez le site www.boehringer-ingelheim.com/animal-health/overview

Boehringer Ingelheim

L'amélioration de la santé des humains et des animaux; voilà en quoi consiste l'objectif de la compagnie pharmaceutique de recherche Boehringer Ingelheim. Pour atteindre ce but, nous nous concentrons sur les maladies pour lesquelles il n'existe pas encore de traitement satisfaisant. La compagnie s'efforce par conséquent de mettre au point des traitements novateurs qui pourront prolonger la vie des patients. Dans le domaine de la santé animale, Boehringer Ingelheim est synonyme de prévention perfectionnée. 

Entreprise familiale depuis sa fondation en 1885, Boehringer Ingelheim compte parmi les 20 entreprises chefs de file du secteur pharmaceutique. Pour les trois secteurs d'activité Produits pharmaceutiques pour les humains, Santé Animale et Biopharmaceutique, près de 50 000 employés valorisent par l'innovation tous les jours. En 2018, Boehringer Ingelheim a affiché des ventes nettes d’environ 17,5 milliards d’euros. Les dépenses consacrées à la recherche et au développement s'élèvent à près de 3,2 milliards d'euros, ce qui représente 18,1 % des ventes nettes. 

À titre d'entreprise familiale, Boehringer Ingelheim doit planifier en fonction des générations futures et du rendement à long terme. La compagnie vise ainsi la croissance organique à partir de ses propres ressources et de son ouverture pour les partenariats et les alliances stratégiques en recherche. Boehringer Ingelheim exerce toutes ses activités en faisant preuve de responsabilité envers l'être humain et l'environnement.  

De plus amples renseignements au sujet de Boehringer Ingelheim sont accessibles sur le site www.boehringer-ingelheim.com ou dans notre rapport annuel : http://annualreport.boehringer-ingelheim.com.

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